Nguebah, langue parlée dans cinq villages bamiléké (Baméka, Bafounda , Bamedjou, Bamougoum, Bansoa), veut dire littéralement « Je veux parler », une façon d’annoncer sa voix avant de prendre la parole. Ce groupe est créé en 2016 par Joseph Moumbé. Celui-ci entendait refaire le milieu ambiant de la famille, de la culture, du dynamisme et du crédo BAMILEKE. Quatre ans plus...
Les premières minutes de ces vidéos sont gratuites.
Matombi productions vous demande une participation financière symbolique
du montant de votre choix afin de soutenir le festival, les actions culturelles
et sociales que nous mettons en place.
Merci Matondo et Ku lala vé
Nguebah, langue parlée dans cinq villages bamiléké (Baméka, Bafounda , Bamedjou, Bamougoum, Bansoa), veut dire littéralement « Je veux parler », une façon d’annoncer sa voix avant de prendre la parole.
Ce groupe est créé en 2016 par Joseph Moumbé. Celui-ci entendait refaire le milieu ambiant de la famille, de la culture, du dynamisme et du crédo BAMILEKE. Quatre ans plus tard Nguebah est reformé par Robert Talla qui en devient président et ouvre l’association à tous les Camerounais de toutes les régions.
Nguebah est une sorte de piédestal qui soutient ses adhérents par la force venant de la poche de chacun.
Matombi productions vous demande une participation financière symbolique du montant de votre choix à partir de 1000 FCFA afin de soutenir le festival, les actions culturelles et sociales que nous mettons en place.